Connaissez-vous le Libéralisme ?
Le courant du Libéralisme met en avant la liberté des particuliers.
Et j'aimerais vous proposer plus d'informations sur ce sujet.
Je peux vous proposer une collection de 4 extraits d'auteurs - que vous ne connaissez peut-être pas -, au sujet du courant du Libéralisme, gratuitement, aujourd’hui.
Trouvez quelques citations de ces extraits ci-dessous…
Pour le document entier, 100 % gratuit, entrez simplement votre adresse mail en bas de cette page.
Frédéric Bastiat (Sophismes économiques):
“En entrant dans Paris, que je suis venu visiter, je me disais : Il y a là un million d’êtres humains, qui mourraient tous en peu de jours si des approvisionnements de toute nature n’affluaient vers cette vaste métropole […] Comment chaque jour amène-t-il ce qu’il faut, rien de plus, rien de moins, sur ce gigantesque marché ? Quelle est donc l’ingénieuse et secrète puissance qui préside à l’étonnante régularité de mouvements si compliqués, régularité en laquelle chacun a une foi si insouciante, quoiqu’il y aille du bien-être et de la vie ? Cette puissance, c’est [...] le principe de la liberté des transactions.”
Milton Friedman (La liberté du choix):
“La perfection n'est pas de ce monde. Il y aura toujours de la camelote, des charlatans et des tire-laine. Mais, dans l'ensemble, la concurrence du marché, quand on la laisse fonctionner, protège le consommateur mieux que tous les mécanismes gouvernementaux venus successivement se superposer au marché.”
Guy de Molinari (Notions fondamentales d'économie politique):
“L’État moderne est un colosse, soit ! mais c’est un colosse aux pieds d’argile. Il suffit de jeter un simple coup d’œil sur les ressources qui alimentent ses moyens de subsistance et d’action pour s’assurer que ces ressources sont singulièrement précaires et qu’elles lui feront défaut aussitôt que l’opinion sera pleinement édifiée sur le vice de leur origine : elles consistent principalement, comme on sait, dans les impôts indirects, le papier-monnaie et les emprunts en rentes perpétuelles ou amortissables à long terme.”
Alexis de Tocqueville (De la démocratie en Amérique):
“La première chose qui frappe aux États-Unis, c’est la multitude innombrable de ceux qui cherchent à sortir de leur condition originaire ; et la seconde, c’est le petit nombre de grandes ambitions qui se font remarquer au milieu de ce mouvement universel de l’ambition. Il n’y a pas d’Américains qui ne se montrent dévorés du désir de s’élever ; mais on n’en voit presque point qui paraissent nourrir de très-vastes espérances, ni tendre fort haut. Tous veulent acquérir sans cesse des biens, de la réputation, du pouvoir ; peu envisagent en grand toutes ces choses. Et cela surprend au premier abord. Puisqu’on n’aperçoit rien, ni dans les mœurs, ni dans les lois de l’Amérique, qui doive y borner les désirs, et les empêcher de prendre de tous côtés leur essor.”
Entrez votre adresse mail ci-dessous pour la totalité de ce dossier - 100 % offert.